19.9.1799 à Rümlingen, 13.1.1871 à Bâle, prot., de Bâle. Fils d'Alexander, pasteur, et d'Anna Maria Buckhardt. 1) Charlotte Hopf, fille de Viktor, receveur de l'accise du royaume de Wurtemberg à Stuttgart, 2) Augusta Faber, fille d'August, pasteur. Etudes de théologie (jusqu'en 1821). Pasteur à l'orphelinat de Bâle (1824), maître de théologie au siège de la Mission de Bâle (1828). Pasteur de Muttenz (1830), révoqué par le gouvernement de Bâle-Campagne pour des raisons politiques (1833). Maître à l'école de théologie de la Société évangélique de Genève, P. publia une grammaire hébraïque en français (1834). Diacre (1839) et pasteur (1840) de Saint-Léonard à Bâle, antistès de l'Eglise bâloise (1859). Prédicateur apprécié et talentueux auteur de cantiques. Il défendit précocement, dans sa revue Das Morgenland, l'idée d'une prise de possession de la Palestine par les juifs. Docteur honoris causa de la faculté de théologie de l'université de Bâle (1860).
Sources et bibliographie
- M. Raith, «Samuel Preiswerk», in Der Reformation verpflichtet, 1979, 91-96
En bref
Dates biographiques | ∗︎ 19.9.1799 ✝︎ 13.1.1871 1799-09-191871-01-13 |
Indexation thématique
Religion (protestantisme) |